La lettre de Mona Skuir
Quimper le 4 février 2010
"J'ai rencontré Moca pour la première fois sur un site d'écriture où je m'étais inscrite, encouragée par une amie: une rencontre toute virtuelle donc. La poésie ? Je n'en lisais plus depuis très longtemps, mais par curiosité j'ai commencé à la lire…. et continué.
C'était léger et simple, profond et vibrant de passion et sincérité, une voix douce et ferme exprimant, chantant l'amour. Juste l' Amour et les états d'âmes qu'il a toujours inspiré aux passionnés. Comme une musique qui m'allait droit au coeur.
Elle séduisait par sa douceur, sa sensualité, sa sensibilité à fleur d' âme.
Mais c'est aussi une femme de caractère, car pour oser écrire des poèmes à une époque où l'on trouve de moins en moins de lecteurs, et se battre pour se faire enfin publier, il en fallait !
Cette fois je l'ai, ce premier recueil qui déjà représente pour un auteur la joie de concrétiser son rêve.La couverture est blanche et les illustrations minimalistes et gracieuses: de petites touches de couleur, comme des pétales de fleurs déposées ça et là avec délicatesse par la belle Julie.
« Et même le vent n'en a soufflé mot »
On s'abandonne au fil des saisons et l'on devient témoin de la naissance, l'épanouissement, le déclin, la fin de l'amour? Non, pas la fin, car l'amante se défend et ne l'accepte pas.
Que dire d'autre? J'ai aimé ces poèmes, ils m'ont émue, fait vibrer. D'autres les aimeront, et feront leurs ces mots vivants que peu d'entre nous savent exprimer.
Finistérienne, j'ai aimé ces promenades dans la belle ville de Quimper puis Locronan « La vieille cité découvre ses charmes ancestraux »
Mais chut, ouvrez le livre et laissez vous emporter…"
°°°°°°
"J'ai rencontré Moca pour la première fois sur un site d'écriture où je m'étais inscrite, encouragée par une amie: une rencontre toute virtuelle donc. La poésie ? Je n'en lisais plus depuis très longtemps, mais par curiosité j'ai commencé à la lire…. et continué.
C'était léger et simple, profond et vibrant de passion et sincérité, une voix douce et ferme exprimant, chantant l'amour. Juste l' Amour et les états d'âmes qu'il a toujours inspiré aux passionnés. Comme une musique qui m'allait droit au coeur.
Elle séduisait par sa douceur, sa sensualité, sa sensibilité à fleur d' âme.
Mais c'est aussi une femme de caractère, car pour oser écrire des poèmes à une époque où l'on trouve de moins en moins de lecteurs, et se battre pour se faire enfin publier, il en fallait !
Cette fois je l'ai, ce premier recueil qui déjà représente pour un auteur la joie de concrétiser son rêve.La couverture est blanche et les illustrations minimalistes et gracieuses: de petites touches de couleur, comme des pétales de fleurs déposées ça et là avec délicatesse par la belle Julie.
« Et même le vent n'en a soufflé mot »
On s'abandonne au fil des saisons et l'on devient témoin de la naissance, l'épanouissement, le déclin, la fin de l'amour? Non, pas la fin, car l'amante se défend et ne l'accepte pas.
Que dire d'autre? J'ai aimé ces poèmes, ils m'ont émue, fait vibrer. D'autres les aimeront, et feront leurs ces mots vivants que peu d'entre nous savent exprimer.
Finistérienne, j'ai aimé ces promenades dans la belle ville de Quimper puis Locronan « La vieille cité découvre ses charmes ancestraux »
Mais chut, ouvrez le livre et laissez vous emporter…"
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