PROBLEME DE SANTE PUBLIQUE
Règles trop précoces
Ménopause trop tardive
1ère grossesse après 35 ans
Trop de poids
Seins trop denses
Trop (même avec modération) d'alcool
Trop de cigarettes
Trop de contraceptifs oraux
Trop de traitement subsitutif de la ménopause etc...
Pas allaité
Pas suffisamment de sport etc...
Responsabilisation ou culpabilisation ? un peu des deux, tout de même...
Une majorité de cancers du sein sont hormono-dépendants. Pour cette forme de cancer, il est prescrit de l'hormonothérapie pendant 5 ans car certains types de cellules cancéreuses sont dépendantes des hormones. il en est de même, chez les hommes, dans le cancer de la prostate...
C'est bien beau de dire aux femmes : "ne prenez pas de poids", "allaitez", "faites du sport" etc...
Cela ne suffit pas !
Certaines femmes mangent équilibrées, bio, ne sont pas en surpoids, n'ont pas d'antécédents familiaux etc... et ont quand même un cancer du sein. Des femmes de plus en plus jeunes se retrouvent avec ce problème majeur de santé !
Que nous cache t-on ?
Quand est-ce que seront mis en avant, ouvertement, les perturbateurs endocriniens ? les perturbateurs extérieurs !
Le nombre de cancers du sein explose de même que d'autres formes de cancers.
Cela devient, et ce n'est pas abusif de le penser et de le dire, un problème de santé publique !
La PREVENTION devrait être l'objectif essentiel.
PREVENTION qui implique la responsabilité individuelle (et pas culpabilité) et la responsabilité collective.
N'est-ce-pas mesdames et messieurs les industriels de tous poils, n'est-ce-pas mesdames et messieurs les politiques ?
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Ménopause trop tardive
1ère grossesse après 35 ans
Trop de poids
Seins trop denses
Trop (même avec modération) d'alcool
Trop de cigarettes
Trop de contraceptifs oraux
Trop de traitement subsitutif de la ménopause etc...
Pas allaité
Pas suffisamment de sport etc...
Responsabilisation ou culpabilisation ? un peu des deux, tout de même...
Une majorité de cancers du sein sont hormono-dépendants. Pour cette forme de cancer, il est prescrit de l'hormonothérapie pendant 5 ans car certains types de cellules cancéreuses sont dépendantes des hormones. il en est de même, chez les hommes, dans le cancer de la prostate...
C'est bien beau de dire aux femmes : "ne prenez pas de poids", "allaitez", "faites du sport" etc...
Cela ne suffit pas !
Certaines femmes mangent équilibrées, bio, ne sont pas en surpoids, n'ont pas d'antécédents familiaux etc... et ont quand même un cancer du sein. Des femmes de plus en plus jeunes se retrouvent avec ce problème majeur de santé !
Que nous cache t-on ?
Quand est-ce que seront mis en avant, ouvertement, les perturbateurs endocriniens ? les perturbateurs extérieurs !
"Le concept de perturbateur endocrinien désigne toute substance ou mélange exogène à un organisme modifiant la (les) fonction(s) du système endocrinien et provoquant ainsi des effets sanitaires nocifs sur l’organisme intact, sa descendance, ou sur des populations. Les conséquences sanitaires potentielles de l’exposition à ces substances peuvent, chez l’humain comme dans la faune, concerner la fertilité, le développement, les troubles du métabolisme ou du comportement, le cancer, voire le système immunitaire.
Créé en 2005, le Programme National de Recherche sur les Perturbateurs Endocriniens (PNRPE) a pour objectif de soutenir des recherches fondamentales et appliquées en appui à l’action publique sur les questions ayant trait à la perturbation endocrinienne.
Piloté par le ministère en charge de l’Écologie et du Développement durable, le PNRPE a déjà lancé trois appels à projet de recherche. Le dernier, datant de 2010, s’inscrit plus largement dans la Stratégie nationale au développement durable (SNDD) 2010-2013, visant à prévenir les risques et autres atteintes sur la santé et l’environnement.
Depuis le début du PNRPE, 31 projets de recherche ont été financés : 7 en 2005, 15 en 2008 et 9 en 2010. Des dizaines de publications scientifiques et d’importantes connaissances nouvelles ont été permises par ce programme.
Ce site Internet vous propose une visibilité sur les thématiques de recherche financées, la liste des publications scientifiques issues des projets financés par le PNRPE et une actualité sur les événements nationaux et internationaux en lien avec les perturbateurs endocriniens".
Rémy SLAMA, Inserm-Université Joseph Fourier de Grenoble (Président du Comité scientifique)
Céline COUDERC-OBERT, Dominique THIERRY, Lionel MOULIN. Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie (MEDDE) / Commissariat Général au Développement Durable / Direction de la Recherche et de l’Innovation
Yoann BAILLEUL, Paulina CERVANTÈS, Louis LAURENT. Anses
Créé en 2005, le Programme National de Recherche sur les Perturbateurs Endocriniens (PNRPE) a pour objectif de soutenir des recherches fondamentales et appliquées en appui à l’action publique sur les questions ayant trait à la perturbation endocrinienne.
Piloté par le ministère en charge de l’Écologie et du Développement durable, le PNRPE a déjà lancé trois appels à projet de recherche. Le dernier, datant de 2010, s’inscrit plus largement dans la Stratégie nationale au développement durable (SNDD) 2010-2013, visant à prévenir les risques et autres atteintes sur la santé et l’environnement.
Depuis le début du PNRPE, 31 projets de recherche ont été financés : 7 en 2005, 15 en 2008 et 9 en 2010. Des dizaines de publications scientifiques et d’importantes connaissances nouvelles ont été permises par ce programme.
Ce site Internet vous propose une visibilité sur les thématiques de recherche financées, la liste des publications scientifiques issues des projets financés par le PNRPE et une actualité sur les événements nationaux et internationaux en lien avec les perturbateurs endocriniens".
Rémy SLAMA, Inserm-Université Joseph Fourier de Grenoble (Président du Comité scientifique)
Céline COUDERC-OBERT, Dominique THIERRY, Lionel MOULIN. Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie (MEDDE) / Commissariat Général au Développement Durable / Direction de la Recherche et de l’Innovation
Yoann BAILLEUL, Paulina CERVANTÈS, Louis LAURENT. Anses
Source : http://www.pnrpe.fr/
Le nombre de cancers du sein explose de même que d'autres formes de cancers.
Cela devient, et ce n'est pas abusif de le penser et de le dire, un problème de santé publique !
La PREVENTION devrait être l'objectif essentiel.
PREVENTION qui implique la responsabilité individuelle (et pas culpabilité) et la responsabilité collective.
N'est-ce-pas mesdames et messieurs les industriels de tous poils, n'est-ce-pas mesdames et messieurs les politiques ?
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