UN LIEN INSTRUCTIF VERS LE SITE DU DOCTEUR PHILIPPE LAGARDE
http://www.philippelagarde.org/approchetherapeutique.html
SOURCE : SITE OFFICIEL DOCTEUR PHILIPPE LAGARDE
EXTRAIT
"3. La convergence des thérapies
« Notre devoir est de sortir des sentiers battus » Lucien ISRAËL
Défendue et appliquée depuis plus de 25 ans par le Dr. Lagarde, la convergence des thérapies ne se discute plus à notre époque. Il n'est pas encore question de renoncer aux thérapies classiques. Mais, comme nous l'avons déjà dit, il faut les utiliser différemment, avec discernement. Il faut, par exemple, utiliser des protocoles personnalisés appliqués en semi-continu ou en continu, encadrer systématiquement la chirurgie (avant et après), il ne faut pas utiliser la radiothérapie avant la chimiothérapie, etc...En outre, il ne faut pas hésiter à exploiter les dernières innovations de la recherche comme traitements de première intention, par exemple:
- les anti-angiogenèses : Neovastat , Cartcell, Phytostatine, Avastin, etc...
- les anticorps monoclonaux,
- les interleukines, les interférons, etc.
Outre les thérapies classiques, il est primordial d'utiliser toutes les possibilités à notre disposition, avant, pendant et après celles-ci. L'alimentation, les antioxydants, les immuno-régulateurs, les minéraux, les vitamines, la phytothérapie, l'organothérapie, le travail mental, sont des notions à présent connues d'au moins 60% de la population et appliquées plus ou moins ouvertement, plus ou moins bien par plus de 30% des médecins.
Compléments alimentaires:
- la vitamine E (coeur)
- le complexe B sans B12 (système nerveux et intestin)
- la vitamine A (cicatrisation)
- le glutathion (défenses immunitaires et désintoxication)
Minéraux assimilables:- plasma marin Biocéan
Phytothérapie:
- le Gingko Biloba,
- la Vitis Vinifera,
- le chardon Marie, etc.
La plupart de ces produits dont nous avons suivi la fabrication et controlé la qualité, sont disponibles auprès du Laboratoire VITACOMPLEX. http://www.vitacomplex.it/
Potentialiser l'action de la chimiothérapie est également possible avec des produits qui faciliteront la pénétration de celle-ci dans la cellule cancéreuse:
- FISIATOP ou Polyéthylène Glycol extrait de l'huile de ricin (base du physiatron de Solomidès) (http://www.vitacomplex.it/fisiatop-sch.aspx)
- DMSO
- SILICIUM ORGANIQUE BIO-ACTIVE
(http://www.vitacomplex.it/silicio-organico-sch.aspx)
- ENZYMOTHERAPIE
Stimuler le système immunitaire, s'il en a besoin, est possible avec certains produits, tels que:
- LE VISCUM ALBUM (Iscador)
- LE MARUYAMA
(http://www.tim.hi-ho.ne.jp/keisaku/index1.html)
- L'ORGANOTHERAPIE
(http://es.sireh.com/l/4/laboratorios_roda_s.a_valencia/)
Adjoindre des techniques adjuvantes importantes comme:
- L'OSCILLATEUR A LONGUEUR D'ONDES MULTIPLES DE LAKHOVSKY
- L'OXONIUM
- L’HYDROTHÉRAPIE DU COLON
- L'IONISATION
Ce sont des méthodes de potentialisation ou de désintoxication des traitements (chimiothérapie et hormonothérapie) que nous appliquons depuis plusieurs années en cancérologie.
4. Des traitements personnalisés
En oncologie traditionnelle, les protocoles sont appliqués uniquement en fonction de l'examen histologique, du poids et de la taille du patient. Ils sont dits « internationaux » et ne sont choisis ni en fonction des caractéristiques de la tumeur, ni en fonction du terrain du patient .
Chacun est différent, chaque tumeur est différente et l'on applique pourtant le même protocole à tous, quel que soit le type de cancer. Il y a là quelque chose de grotesque. La vérité est que les oncologues appliquaient et appliquent toujours des protocoles un peu au hasard, sans savoir s'ils seront efficaces. Ce n'est qu'après 2 cures de chimiothérapie que nous pouvons en vérifier l'efficacité.
Déterminer les produits de chimiothérapie efficaces reste encore un grand problème.
Pour l'instant, le choix des produits va dépendre:
1) du type de la tumeur
2) du patient
3) des potentialisations existant entre les produits
4) des marqueurs tumoraux
5) du profil protéomique CEIA
6) du bilan de Vernes
Vous trouverez plus d'informations dans le chapitre : « Bilan de prévention et diagnostic précoce ».
Prenons par exemple le cas d’une tumeur du sein. Quatre paramètres principaux nous permettent de cerner la situation:
Vous constaterez que la présence de ganglions envahis ou non est un paramètre secondaire pour nous, sachant que leur positivité n’est qu’une confirmation de ce que nous savons déjà et que leur négativité ne signifie rien. En effet, FISHER a démontré que les ganglions lymphatiques qui retiennent facilement les globules rouges, laissent par contre passer très aisément les cellules cancéreuses. Seulement 13% de cellules tumorales injectées dans les canaux étaient arrêtées par le ganglion ( FISCHER: Cancer: 1967 : 20 : 1907 - 1913).
Ces quatre paramètres permettent d’établir le pourcentage de risques de l’existence de micro-métastases. C’est le grade histologique qui constitue l’élément le plus déterminant. Les marqueurs tumoraux quant à eux sont importants pour déterminer l'agressivité de la tumeur mère. Ainsi, la présence de erb-2 positif et/ou la négativité des récepteurs aux estrogènes sont des éléments importants à connaitre.
Nous pouvons aussi choisir des thérapies de soutien permettant de diminuer de façon très importante les effets secondaires des thérapies anti-tumorales classiques (surtout au moyen du CEIA et de la clinique). Par exemple, si le CEIA détecte une faiblesse au niveau cardiovasculaire, nous pouvons ainsi éviter certains produits de chimiothérapie cardiotoxiques comme les anthracyclines. Grâce à l'organothérapie, la phytothérapie, la vitamine E naturelle, il est possible de protéger le coeur et les vaisseaux.
Enfin, lorsque nous créons un protocole de chimiothérapie adaptée au patient, il faut:
1) Utiliser les notions connues de potentialisation qui existent entre les différents produits de chimiothérapie.
2) Penser que peu de médicaments passent la barrière méningée et, de ce fait, resteront inactifs sur des cellules métastatiques ayant migré vers l'encéphale. Le Vepesid et la Fotemustine ou le CCNU devraient toujours faire partie d'un protocole de polychimiothérapie.
3) Ceci confirme que les protocoles « internationaux » utilisés actuellement doivent être revus.
Opérer d'emblée est une erreur capitale, l'erreur qu'il ne faut plus commettre, qu'il faut éliminer le plus rapidement possible de la stratégie actuelle utilisée dans le monde entier et qui est ancrée dans l'esprit routinier des chirurgiens oncologues.
Alors, connaissant ces données scientifiques incontournables, je ne peux m'empêcher de poser quelques questions à la médecine académique. Il s'agit principalement de trois questions :
- Pourquoi s'acharner à imposer des techniques inutiles comme, par exemple, le ganglion sentinelle? En effet, nous savons fort bien que les cellules métastatiques partiront d'abord par les vaisseaux sanguins et non par les lymphatiques.
- Pourquoi ne pas admettre que les métastases existent (même si on ne les voit pas) dans la majorité des cas lorsque l'on diagnostique une tumeur?
-Pourquoi ne traite-t-on pas systématiquement les micro-métastases (puisque l'on sait qu'elles existent) par des traitement néo-adjuvants, c'est à dire avant l'acte chirurgical ?"
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SOURCE : SITE OFFICIEL DOCTEUR PHILIPPE LAGARDE
EXTRAIT
"3. La convergence des thérapies
« Notre devoir est de sortir des sentiers battus » Lucien ISRAËL
Défendue et appliquée depuis plus de 25 ans par le Dr. Lagarde, la convergence des thérapies ne se discute plus à notre époque. Il n'est pas encore question de renoncer aux thérapies classiques. Mais, comme nous l'avons déjà dit, il faut les utiliser différemment, avec discernement. Il faut, par exemple, utiliser des protocoles personnalisés appliqués en semi-continu ou en continu, encadrer systématiquement la chirurgie (avant et après), il ne faut pas utiliser la radiothérapie avant la chimiothérapie, etc...En outre, il ne faut pas hésiter à exploiter les dernières innovations de la recherche comme traitements de première intention, par exemple:
- les anti-angiogenèses : Neovastat , Cartcell, Phytostatine, Avastin, etc...
- les anticorps monoclonaux,
- les interleukines, les interférons, etc.
Outre les thérapies classiques, il est primordial d'utiliser toutes les possibilités à notre disposition, avant, pendant et après celles-ci. L'alimentation, les antioxydants, les immuno-régulateurs, les minéraux, les vitamines, la phytothérapie, l'organothérapie, le travail mental, sont des notions à présent connues d'au moins 60% de la population et appliquées plus ou moins ouvertement, plus ou moins bien par plus de 30% des médecins.
Des thérapies utilisant certaines « médecines alternatives », que nous appelons complémentaires, permettent d'aider le patient, de potentialiser les thérapies classiques, de protéger l'organisme du patient contre la toxicité des techniques oncologiques traditionnelles.
Voici quelques exemples de produits pouvant être utilisés conjointement aux thérapies classiques:Compléments alimentaires:
- la vitamine E (coeur)
- le complexe B sans B12 (système nerveux et intestin)
- la vitamine A (cicatrisation)
- le glutathion (défenses immunitaires et désintoxication)
Minéraux assimilables:- plasma marin Biocéan
Phytothérapie:
- le Gingko Biloba,
- la Vitis Vinifera,
- le chardon Marie, etc.
La plupart de ces produits dont nous avons suivi la fabrication et controlé la qualité, sont disponibles auprès du Laboratoire VITACOMPLEX. http://www.vitacomplex.it/
Potentialiser l'action de la chimiothérapie est également possible avec des produits qui faciliteront la pénétration de celle-ci dans la cellule cancéreuse:
- FISIATOP ou Polyéthylène Glycol extrait de l'huile de ricin (base du physiatron de Solomidès) (http://www.vitacomplex.it/fisiatop-sch.aspx)
- DMSO
- SILICIUM ORGANIQUE BIO-ACTIVE
(http://www.vitacomplex.it/silicio-organico-sch.aspx)
- ENZYMOTHERAPIE
Stimuler le système immunitaire, s'il en a besoin, est possible avec certains produits, tels que:
- LE VISCUM ALBUM (Iscador)
- LE MARUYAMA
(http://www.tim.hi-ho.ne.jp/keisaku/index1.html)
- L'ORGANOTHERAPIE
(http://es.sireh.com/l/4/laboratorios_roda_s.a_valencia/)
Adjoindre des techniques adjuvantes importantes comme:
- L'OSCILLATEUR A LONGUEUR D'ONDES MULTIPLES DE LAKHOVSKY
- L'OXONIUM
- L’HYDROTHÉRAPIE DU COLON
- L'IONISATION
Ce sont des méthodes de potentialisation ou de désintoxication des traitements (chimiothérapie et hormonothérapie) que nous appliquons depuis plusieurs années en cancérologie.
4. Des traitements personnalisés
En oncologie traditionnelle, les protocoles sont appliqués uniquement en fonction de l'examen histologique, du poids et de la taille du patient. Ils sont dits « internationaux » et ne sont choisis ni en fonction des caractéristiques de la tumeur, ni en fonction du terrain du patient .
Chacun est différent, chaque tumeur est différente et l'on applique pourtant le même protocole à tous, quel que soit le type de cancer. Il y a là quelque chose de grotesque. La vérité est que les oncologues appliquaient et appliquent toujours des protocoles un peu au hasard, sans savoir s'ils seront efficaces. Ce n'est qu'après 2 cures de chimiothérapie que nous pouvons en vérifier l'efficacité.
Déterminer les produits de chimiothérapie efficaces reste encore un grand problème.
Pour l'instant, le choix des produits va dépendre:
1) du type de la tumeur
2) du patient
3) des potentialisations existant entre les produits
4) des marqueurs tumoraux
5) du profil protéomique CEIA
6) du bilan de Vernes
Vous trouverez plus d'informations dans le chapitre : « Bilan de prévention et diagnostic précoce ».
Prenons par exemple le cas d’une tumeur du sein. Quatre paramètres principaux nous permettent de cerner la situation:
- la taille de la tumeur.
- le grade histologique
- les récepteurs hormonaux
- les récepteurs à l'Herceptine (erb-2).
Vous constaterez que la présence de ganglions envahis ou non est un paramètre secondaire pour nous, sachant que leur positivité n’est qu’une confirmation de ce que nous savons déjà et que leur négativité ne signifie rien. En effet, FISHER a démontré que les ganglions lymphatiques qui retiennent facilement les globules rouges, laissent par contre passer très aisément les cellules cancéreuses. Seulement 13% de cellules tumorales injectées dans les canaux étaient arrêtées par le ganglion ( FISCHER: Cancer: 1967 : 20 : 1907 - 1913).
Ces quatre paramètres permettent d’établir le pourcentage de risques de l’existence de micro-métastases. C’est le grade histologique qui constitue l’élément le plus déterminant. Les marqueurs tumoraux quant à eux sont importants pour déterminer l'agressivité de la tumeur mère. Ainsi, la présence de erb-2 positif et/ou la négativité des récepteurs aux estrogènes sont des éléments importants à connaitre.
Nous pouvons aussi choisir des thérapies de soutien permettant de diminuer de façon très importante les effets secondaires des thérapies anti-tumorales classiques (surtout au moyen du CEIA et de la clinique). Par exemple, si le CEIA détecte une faiblesse au niveau cardiovasculaire, nous pouvons ainsi éviter certains produits de chimiothérapie cardiotoxiques comme les anthracyclines. Grâce à l'organothérapie, la phytothérapie, la vitamine E naturelle, il est possible de protéger le coeur et les vaisseaux.
Enfin, lorsque nous créons un protocole de chimiothérapie adaptée au patient, il faut:
1) Utiliser les notions connues de potentialisation qui existent entre les différents produits de chimiothérapie.
2) Penser que peu de médicaments passent la barrière méningée et, de ce fait, resteront inactifs sur des cellules métastatiques ayant migré vers l'encéphale. Le Vepesid et la Fotemustine ou le CCNU devraient toujours faire partie d'un protocole de polychimiothérapie.
3) Ceci confirme que les protocoles « internationaux » utilisés actuellement doivent être revus.
Opérer d'emblée est une erreur capitale, l'erreur qu'il ne faut plus commettre, qu'il faut éliminer le plus rapidement possible de la stratégie actuelle utilisée dans le monde entier et qui est ancrée dans l'esprit routinier des chirurgiens oncologues.
Alors, connaissant ces données scientifiques incontournables, je ne peux m'empêcher de poser quelques questions à la médecine académique. Il s'agit principalement de trois questions :
- Pourquoi s'acharner à imposer des techniques inutiles comme, par exemple, le ganglion sentinelle? En effet, nous savons fort bien que les cellules métastatiques partiront d'abord par les vaisseaux sanguins et non par les lymphatiques.
- Pourquoi ne pas admettre que les métastases existent (même si on ne les voit pas) dans la majorité des cas lorsque l'on diagnostique une tumeur?
-Pourquoi ne traite-t-on pas systématiquement les micro-métastases (puisque l'on sait qu'elles existent) par des traitement néo-adjuvants, c'est à dire avant l'acte chirurgical ?"
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