LACHEE DANS LA NATURE
J'aurais pu mettre un "s" au mot lâchée car nous sommes nombreuses, à la fin des traitements lourds, à ressentir ce manque de soutien.
Mais, je ne souhaite pas parler au nom des autres femmes et m'approprier ainsi, d'une certaine manière, leur parole et vérité.
C'est pourquoi, je vais utiliser le "je", celui du témoignage.
Oui, lâchée dans la nature, à tâtonner, entre ce qui est bon de faire ou de ne pas faire. Pour le sport, c'est OK et assimilé !
De marcher minimum, une demi-heure par jour, de faire du sport, diminuerait de 30% le risque de récidive.
Il est important aussi de bien respirer, de se relaxer afin de réduire le stress et ses mauvaises influences sur l'organisme.
Mais pour le reste ? je veux dire tout ce qui concerne l'alimentaire, c'est loin d'être évident à gérer.
Que manger ? que ne pas manger ? Sur quelle étude sérieuse se déterminer ?
Certains médecins préconisent d'éliminer les viandes rouges boeuf, agneau, côtes de porc) de notre alimentation, les produits laitiers, les sucres, l'alcool. Les viandes rouges seraient notamment inflammatoires.
Au centre d'oncologie de Quimper, les repas proposés à l'heure du déjeuner : hachis parmentier, poisson avec sauce, jambon purée,
fromage, beurre, yaourt, fruit. Ce qui est en contraction avec certaines recommandations.
Qui a raison ? Qui a tort ?
La vérité est peut-être entre les 2 positions... Mystère...
Je me suis donc mise au "bricolage".
Poisson,très peu de viandes rouges, viandes blanches, un yaourt par jour (0 %), un peu de fromage (chèvre et autre), suppression boissons sucrées, beaucoup de légumes et de fruits.
Par contre, le chocolat, c'est trop bon !
j'en suis accro !
La nourriture, après cancer, est encore moins évidente à gérer.
Je suis consciente qu'il faille "assainir le terrain corporel et mental" afin de réduire le risque de récidive.
Je trouve dommageable qu'il n'y ait pas de suivi, à ce niveau.
Lâchée dans la nature, à faire du bricolage, en l'absence d'approche holistique de la maladie, sont donc bien les termes qui conviennent.
°°°°°°
Mais, je ne souhaite pas parler au nom des autres femmes et m'approprier ainsi, d'une certaine manière, leur parole et vérité.
C'est pourquoi, je vais utiliser le "je", celui du témoignage.
Oui, lâchée dans la nature, à tâtonner, entre ce qui est bon de faire ou de ne pas faire. Pour le sport, c'est OK et assimilé !
De marcher minimum, une demi-heure par jour, de faire du sport, diminuerait de 30% le risque de récidive.
Il est important aussi de bien respirer, de se relaxer afin de réduire le stress et ses mauvaises influences sur l'organisme.
Mais pour le reste ? je veux dire tout ce qui concerne l'alimentaire, c'est loin d'être évident à gérer.
Que manger ? que ne pas manger ? Sur quelle étude sérieuse se déterminer ?
Certains médecins préconisent d'éliminer les viandes rouges boeuf, agneau, côtes de porc) de notre alimentation, les produits laitiers, les sucres, l'alcool. Les viandes rouges seraient notamment inflammatoires.
Au centre d'oncologie de Quimper, les repas proposés à l'heure du déjeuner : hachis parmentier, poisson avec sauce, jambon purée,
fromage, beurre, yaourt, fruit. Ce qui est en contraction avec certaines recommandations.
Qui a raison ? Qui a tort ?
La vérité est peut-être entre les 2 positions... Mystère...
Je me suis donc mise au "bricolage".
Poisson,très peu de viandes rouges, viandes blanches, un yaourt par jour (0 %), un peu de fromage (chèvre et autre), suppression boissons sucrées, beaucoup de légumes et de fruits.
Par contre, le chocolat, c'est trop bon !
j'en suis accro !
La nourriture, après cancer, est encore moins évidente à gérer.
Je suis consciente qu'il faille "assainir le terrain corporel et mental" afin de réduire le risque de récidive.
Je trouve dommageable qu'il n'y ait pas de suivi, à ce niveau.
Lâchée dans la nature, à faire du bricolage, en l'absence d'approche holistique de la maladie, sont donc bien les termes qui conviennent.
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