QUANT A LA CHIMIOTHERAPIE
La chimiothérapie est souvent décriée au regard des effets secondaires qu'elle entraîne.
C'est vrai que les protocoles de chimiothérapie sont lourds mais, jusqu'à preuve du contraire, ce sont les seuls traitements, à l'heure actuelle, ayant montré une efficacité.
Pour exemple, dans le type de cancer du sein hr2+++ (celui de certaines femmes dont moi-même), si herceptin n'existait pas, nous serions condamnées à très court terme.
Il y a 10 ans encore, cette forme de cancer était d'un pronostic très sombre. Donc merci la science !
Nous avons la chance d'habiter un pays, la France, où la médecine a fait ses preuves.
La poudre de perlinpinpin n'existe pas ou alors seulement dans les esprits. Notamment dans les esprits de ceux qui veulent se faire du blé sur la vulnérabilité des patients.
Dans cet article, je souhaite mettre en avant, les bienfaits de la chimiothérapie.
Nous ne devons pas oublier que ces produits détruisent les cellules cancéreuses, qu'ils sont là en vue de les éradiquer.
Malheureusement, comme ce sont des cellules qui se renouvellent vite, les produits détruisent aussi certaines cellules saines.
Ce qui explique la perte temporaire des cheveux, la baisse des globules blancs, rouges ou des plaquettes et d'autres effets indésirables...
Ceci étant dit, je déplore tout de même, que toutes les connaissances (que ce soit par l'approche classique ou par l'approche holistique) ne soient pas mises en commun, dans l'intérêt des patients. Je sais, je me répète...
Pourquoi ces conflits d'intérêt qui, au final, desservent le progrès ?
Il existe, en Suisse, à Bâle, la clinique LUKAS, qui a su allier les deux approches, pour le mieux-être des patients.
Le seul hic, et celui-ci n'est pas de la moindre importance, est le coût d'un séjour. Ce qui veut dire que ces soins ne sont pas accessibles à toutes les bourses. Ce qui nous ramène à la médecine à deux vitesses...
Alors, que faire pour bien faire ?
Déjà, dans un premier temps, faire confiance en nos médecins et aux progrès médicaux. Une confiance éclairée...
Ensuite, si nous le souhaitons, faire appel à la médecine douce, en complément, pour atténuer les effets secondaires des traitements (homéopathie, sophrologie, réflexologie...).
Et surtout, faire confiance en nous-mêmes, en notre intuition, en la vie tout simplement.
Malgré tout...
Sur notre chemin, des lignes droites et lisses, mais aussi des sentiers courbés et escarpés, des obstacles,
ainsi va l'existence, dès notre premiers pas en ce
bas monde
^^^^^^
C'est vrai que les protocoles de chimiothérapie sont lourds mais, jusqu'à preuve du contraire, ce sont les seuls traitements, à l'heure actuelle, ayant montré une efficacité.
Pour exemple, dans le type de cancer du sein hr2+++ (celui de certaines femmes dont moi-même), si herceptin n'existait pas, nous serions condamnées à très court terme.
Il y a 10 ans encore, cette forme de cancer était d'un pronostic très sombre. Donc merci la science !
Nous avons la chance d'habiter un pays, la France, où la médecine a fait ses preuves.
La poudre de perlinpinpin n'existe pas ou alors seulement dans les esprits. Notamment dans les esprits de ceux qui veulent se faire du blé sur la vulnérabilité des patients.
Dans cet article, je souhaite mettre en avant, les bienfaits de la chimiothérapie.
Nous ne devons pas oublier que ces produits détruisent les cellules cancéreuses, qu'ils sont là en vue de les éradiquer.
Malheureusement, comme ce sont des cellules qui se renouvellent vite, les produits détruisent aussi certaines cellules saines.
Ce qui explique la perte temporaire des cheveux, la baisse des globules blancs, rouges ou des plaquettes et d'autres effets indésirables...
Ceci étant dit, je déplore tout de même, que toutes les connaissances (que ce soit par l'approche classique ou par l'approche holistique) ne soient pas mises en commun, dans l'intérêt des patients. Je sais, je me répète...
Pourquoi ces conflits d'intérêt qui, au final, desservent le progrès ?
Il existe, en Suisse, à Bâle, la clinique LUKAS, qui a su allier les deux approches, pour le mieux-être des patients.
Le seul hic, et celui-ci n'est pas de la moindre importance, est le coût d'un séjour. Ce qui veut dire que ces soins ne sont pas accessibles à toutes les bourses. Ce qui nous ramène à la médecine à deux vitesses...
Alors, que faire pour bien faire ?
Déjà, dans un premier temps, faire confiance en nos médecins et aux progrès médicaux. Une confiance éclairée...
Ensuite, si nous le souhaitons, faire appel à la médecine douce, en complément, pour atténuer les effets secondaires des traitements (homéopathie, sophrologie, réflexologie...).
Et surtout, faire confiance en nous-mêmes, en notre intuition, en la vie tout simplement.
Malgré tout...
Sur notre chemin, des lignes droites et lisses, mais aussi des sentiers courbés et escarpés, des obstacles,
ainsi va l'existence, dès notre premiers pas en ce
bas monde
^^^^^^
Commentaires