OUI A LA MAMMOGRAPHIE
Le 24 août 2013, je postais sur la chaîne rose ce message :
"Il va falloir que l'on m'explique"
Depuis, l'eau a coulé sous le pont...
Lors de mes séances de chimiothérapie puis de radiothérapie, j'ai dialogué avec d'autres femmes. Parmi les patientes rencontrées, le cancer du sein ou celui du col de l'utérus s'était déclaré dans l'intervalle (un an ou deux). Ce sont donc des femmes qui se faisaient suivre régulièrement, soit dans le cadre du dépistage systématique ou dans celui d'une surveillance plus rapprochée (du fait qu'une personne de leur famille, en ligne maternelle directe, était ou avait été atteinte par cette maladie).
Pour l'une d'entre-elle (cancer du col de l'utérus et frottis chaque année), il avait déjà métastasé aux os et aux poumons.
Des traitements ont donc été mis en place afin de contrôler la maladie.
Il vaut mieux se faire suivre régulièrement (frottis, mammographie et échographie).
L'autre jour, à l'examen de densitométrie, avant le traitement hormonal, la manipulatrice radio m'a signifié que c'était un moindre mal. Elle voit arriver des femmes (parmi celles qui ne font aucun examen mammographique) avec des seins très abîmés et un pronostic plus défavorable.
Je suis arrivée à ma 25ème séance de radiothérapie. Il m'en reste 9 à effectuer. Le traitement est indolore, presque pas d'effets secondaires (un peu de rougeurs au niveau sus-claviculaire et une légère fatigue). La principale contrainte est de devoir aller, tous les jours (pendant 5 jours), à l'hôpital, pour quelques minutes sous la machine.
Nous savons toutes que le parcours est long, semé parfois d'embûches mais nous constatons aussi que nous portons en nous des ressources.
Ces ressources sont celles que nous puisons en notre âme pour faire face à l'intrus.
La science aussi a fait de grands progrès. C'est indéniable.
En ce domaine, La France est loin de faire partie des mauvais élèves !
°°°°°
"Il va falloir que l'on m'explique"
Depuis, l'eau a coulé sous le pont...
Lors de mes séances de chimiothérapie puis de radiothérapie, j'ai dialogué avec d'autres femmes. Parmi les patientes rencontrées, le cancer du sein ou celui du col de l'utérus s'était déclaré dans l'intervalle (un an ou deux). Ce sont donc des femmes qui se faisaient suivre régulièrement, soit dans le cadre du dépistage systématique ou dans celui d'une surveillance plus rapprochée (du fait qu'une personne de leur famille, en ligne maternelle directe, était ou avait été atteinte par cette maladie).
Pour l'une d'entre-elle (cancer du col de l'utérus et frottis chaque année), il avait déjà métastasé aux os et aux poumons.
Des traitements ont donc été mis en place afin de contrôler la maladie.
Il vaut mieux se faire suivre régulièrement (frottis, mammographie et échographie).
L'autre jour, à l'examen de densitométrie, avant le traitement hormonal, la manipulatrice radio m'a signifié que c'était un moindre mal. Elle voit arriver des femmes (parmi celles qui ne font aucun examen mammographique) avec des seins très abîmés et un pronostic plus défavorable.
Je suis arrivée à ma 25ème séance de radiothérapie. Il m'en reste 9 à effectuer. Le traitement est indolore, presque pas d'effets secondaires (un peu de rougeurs au niveau sus-claviculaire et une légère fatigue). La principale contrainte est de devoir aller, tous les jours (pendant 5 jours), à l'hôpital, pour quelques minutes sous la machine.
Nous savons toutes que le parcours est long, semé parfois d'embûches mais nous constatons aussi que nous portons en nous des ressources.
Ces ressources sont celles que nous puisons en notre âme pour faire face à l'intrus.
La science aussi a fait de grands progrès. C'est indéniable.
En ce domaine, La France est loin de faire partie des mauvais élèves !
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