Je suis un cri à brut porté par la passion de l'écriture. Dans ce monde bouffé par le matérialisme, le rêve, l'imaginaire, permettent d'ouvrir un espace de liberté où la pensée, tel un goéland ivre, exulte. Certains traduisent leurs songes, expriment leur sensibilité via une peinture, une sculpture, une musique. Peu importe le support où se rive et se livre une âme. L 'essentiel est d'aller au bout de soi-même, de s'exprimer dans la sincérité et d'apporter, en toute humilité, sa propre respiration, à la respiration du monde. Les mots qui sont donnés, ceux qui sont reçus, ont déjà entamé leur voyage. Ces mots authentiques qui relient les êtres de bonne volonté, de tous temps et de tous lieux, entre-eux. ~~~~~~
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Et même le vent n'en a soufflé mot, appréciations de lecteurs
"Sans prévenir ta douceur s'est posée
et même le vent n'en a soufflé mot"
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Sur les bords de l' Odet
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CANCER DU SEIN ET COURAGE
Nous entendons souvent dire : "le cancer du sein est celui qui se soigne le mieux".
Certains médecins, hommes surtout, l'affirment. Je m'en souviens d'un qui-lors de mes résultats de scintigraphie- avait, d'un geste de la main, balayé mes peurs. Certes, comparé à d'autres cancers, celui du sein est de meilleur pronostic. Mais il y a encore bien trop de femmes qui s'en vont de l'autre côté du miroir. Le cancer du sein tue encore de nos jours. En rédigeant cet article, je ne puis m'empêcher de penser à Catherine, Sylvie, deux jeunes femmes emportées par ce fléau.
Du courage, il en faut certes un minimum, mais avons-nous le choix ? N'est-ce-pas plutôt l'instinct de survie qui nous conduit en ces moments délicats ?
Catherine, Sylvie étaient deux femmes courageuses. L'une et l'autre avait soif de vivre. Cela n'a pas suffi.
Le cancer est de nature complexe. Il ne suffit pas de vouloir vivre pour vivre.
Ceci est une réalité. La nier serait être dans le déni.
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Certains médecins, hommes surtout, l'affirment. Je m'en souviens d'un qui-lors de mes résultats de scintigraphie- avait, d'un geste de la main, balayé mes peurs. Certes, comparé à d'autres cancers, celui du sein est de meilleur pronostic. Mais il y a encore bien trop de femmes qui s'en vont de l'autre côté du miroir. Le cancer du sein tue encore de nos jours. En rédigeant cet article, je ne puis m'empêcher de penser à Catherine, Sylvie, deux jeunes femmes emportées par ce fléau.
Du courage, il en faut certes un minimum, mais avons-nous le choix ? N'est-ce-pas plutôt l'instinct de survie qui nous conduit en ces moments délicats ?
Catherine, Sylvie étaient deux femmes courageuses. L'une et l'autre avait soif de vivre. Cela n'a pas suffi.
Le cancer est de nature complexe. Il ne suffit pas de vouloir vivre pour vivre.
Ceci est une réalité. La nier serait être dans le déni.
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Mahmoud Chaid m'a fait l'honneur et l'amitié de mettre en musique et d'interpréter "Roses rouges pour toujours".
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