Je suis un cri à brut porté par la passion de l'écriture. Dans ce monde bouffé par le matérialisme, le rêve, l'imaginaire, permettent d'ouvrir un espace de liberté où la pensée, tel un goéland ivre, exulte. Certains traduisent leurs songes, expriment leur sensibilité via une peinture, une sculpture, une musique. Peu importe le support où se rive et se livre une âme. L 'essentiel est d'aller au bout de soi-même, de s'exprimer dans la sincérité et d'apporter, en toute humilité, sa propre respiration, à la respiration du monde. Les mots qui sont donnés, ceux qui sont reçus, ont déjà entamé leur voyage. Ces mots authentiques qui relient les êtres de bonne volonté, de tous temps et de tous lieux, entre-eux. ~~~~~~
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Et même le vent n'en a soufflé mot, appréciations de lecteurs
"Sans prévenir ta douceur s'est posée
et même le vent n'en a soufflé mot"
et même le vent n'en a soufflé mot"
Sur les bords de l' Odet
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IL ETAIT UNE FOIS JEANNE
Il était une fois Jeanne... Jeanne, la fidèle, l' amoureuse à fleur de peau.
Je la retrouve bien vivante dans ma mémoire.
Jeanne, mon autre, qui croyait à cet amour comme on croit aux lendemains qui chantent, après les jours d' orage.
Grimpée sur l' échelle du temps, je l' observe de loin, du coin de mon oeil bleu. Elle contemple une photo noircie par les années,
l' indifférence et l' oubli. Un cliché où s' impriment le négatif et la fragilité d' une rencontre, où se cachent aussi les matins ensoleillés.
Deux entités surgissent d' un monde qui n' existe plus, celui
d' avant, quand leurs existences se calaient l' une sur l' autre, comme la courbe unique de leurs hanches.
Julien était un homme qui ne regardait pas au-delà de l' instant présent. Il aimait satisfaire ses besoins immédiats. Il pouvait quitter de manière détachée une rencontre pour entrer, charmeur, en possession d' une autre histoire.
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Je la retrouve bien vivante dans ma mémoire.
Jeanne, mon autre, qui croyait à cet amour comme on croit aux lendemains qui chantent, après les jours d' orage.
Grimpée sur l' échelle du temps, je l' observe de loin, du coin de mon oeil bleu. Elle contemple une photo noircie par les années,
l' indifférence et l' oubli. Un cliché où s' impriment le négatif et la fragilité d' une rencontre, où se cachent aussi les matins ensoleillés.
Deux entités surgissent d' un monde qui n' existe plus, celui
d' avant, quand leurs existences se calaient l' une sur l' autre, comme la courbe unique de leurs hanches.
Julien était un homme qui ne regardait pas au-delà de l' instant présent. Il aimait satisfaire ses besoins immédiats. Il pouvait quitter de manière détachée une rencontre pour entrer, charmeur, en possession d' une autre histoire.
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Mahmoud Chaid m'a fait l'honneur et l'amitié de mettre en musique et d'interpréter "Roses rouges pour toujours".
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