Le parcours du combattant
Les livres sont arrivés. C' est toujours émouvant de contempler “son bébé”multiplié à la puissance 24. Le fruit d'un travail de plusieurs mois et la concrétisation d'un rêve d'enfant.
Le parcours du combattant va commencer. Je suis une parfaite inconnue dans ce milieu.
Je suis un cri à brut porté par une passion : celle de l'écriture et celle d'un homme.
Rien dans mon histoire familiale ne me prédestinait à être là aujourd'hui. Mes ancêtres sont issus du monde rural ou de la ville provinciale.
Les livres sont là. Ils vont vivre leur histoire. D' autres regards vont s'approprier le sujet. Ils ne sont déjà plus miens. C'est une étrange impression que de laisser partir “son bébé” vers d'autres rivages. J'aurais presque envie de le retenir comme pour le protéger des critiques qui ne manqueront pas de jaillir.
Il convient cependant, maintenant que le livre est écrit, de le porter à bout de bras, à bout de coeur, à bout de tout.
Le parcours du combattant vient de commencer. J'ai pris contact avec deux libraires de ma Cité, donné plusieurs coups de téléphone à droite et à gauche, vendu quelques livres de mains à mains,obtenu des séances de signatures. Si je ne crois pas à ce que j'ai créé, qui y croira ?
Mon recueil, une aiguille dans une botte de foin, mettre tous les atouts pour que la lumière du soleil rejaillisse sur l'aiguille et attire le regard. Il n'est pas interdit de rêver.
Dans ce monde bouffé par le matérialisme, le rêve permet d'ouvrir un espace de liberté où la pensée exulte. Certains écrivent leurs songes sur un tableau, une peinture, une sculpture. Peu importe le support où se rive une âme.
L' essentiel est d'aller au bout de soi-même, d'écrire dans la sincérité et d'apporter, en toute humilité, sa propre respiration à la respiration du monde.
Les mots qui sont donnés, ceux qui sont reçus, ont déjà entamé leur voyage. Ces mots qui relient les hommes et les femmes de bonne volonté, de tous temps et de tous lieux, entre-eux.
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Le parcours du combattant va commencer. Je suis une parfaite inconnue dans ce milieu.
Je suis un cri à brut porté par une passion : celle de l'écriture et celle d'un homme.
Rien dans mon histoire familiale ne me prédestinait à être là aujourd'hui. Mes ancêtres sont issus du monde rural ou de la ville provinciale.
Les livres sont là. Ils vont vivre leur histoire. D' autres regards vont s'approprier le sujet. Ils ne sont déjà plus miens. C'est une étrange impression que de laisser partir “son bébé” vers d'autres rivages. J'aurais presque envie de le retenir comme pour le protéger des critiques qui ne manqueront pas de jaillir.
Il convient cependant, maintenant que le livre est écrit, de le porter à bout de bras, à bout de coeur, à bout de tout.
Le parcours du combattant vient de commencer. J'ai pris contact avec deux libraires de ma Cité, donné plusieurs coups de téléphone à droite et à gauche, vendu quelques livres de mains à mains,obtenu des séances de signatures. Si je ne crois pas à ce que j'ai créé, qui y croira ?
Mon recueil, une aiguille dans une botte de foin, mettre tous les atouts pour que la lumière du soleil rejaillisse sur l'aiguille et attire le regard. Il n'est pas interdit de rêver.
Dans ce monde bouffé par le matérialisme, le rêve permet d'ouvrir un espace de liberté où la pensée exulte. Certains écrivent leurs songes sur un tableau, une peinture, une sculpture. Peu importe le support où se rive une âme.
L' essentiel est d'aller au bout de soi-même, d'écrire dans la sincérité et d'apporter, en toute humilité, sa propre respiration à la respiration du monde.
Les mots qui sont donnés, ceux qui sont reçus, ont déjà entamé leur voyage. Ces mots qui relient les hommes et les femmes de bonne volonté, de tous temps et de tous lieux, entre-eux.
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