La teinte du bonheur
Quand les premiers bourgeons,
attendaient d'être fleurs,
attendaient d'être fleurs,
mes deux amours « poissons »
baignaient dans la douceur.
baignaient dans la douceur.
Une rose s'ouvrit au printemps,
quel bonheur !
quel bonheur !
fleurissant dans le cri,
me touchant en plein cœur.
me touchant en plein cœur.
Quand les premiers bourgeons
attendent d'être fleurs,
attendent d'être fleurs,
que les petits garçons
grandissent avec les heures,
grandissent avec les heures,
je me souviens d'une rose
qui s'ouvrit en douceur,
qui s'ouvrit en douceur,
un pur moment d'osmose,
votre coeur près de mon coeur.
votre coeur près de mon coeur.
Avant que naisse la prose,
que défilent les heures,
du berceau de l'enfance,
au manège rieur,
de vos pas qui s'élancent,
à vos pas voyageurs.
Je me souviens d'une rose,
elle s'ouvrit en couleur,
donnant à mille choses
la teinte du bonheur.
À mes fils...
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