Je suis un cri à brut porté par la passion de l'écriture. Dans ce monde bouffé par le matérialisme, le rêve, l'imaginaire, permettent d'ouvrir un espace de liberté où la pensée, tel un goéland ivre, exulte. Certains traduisent leurs songes, expriment leur sensibilité via une peinture, une sculpture, une musique. Peu importe le support où se rive et se livre une âme. L 'essentiel est d'aller au bout de soi-même, de s'exprimer dans la sincérité et d'apporter, en toute humilité, sa propre respiration, à la respiration du monde. Les mots qui sont donnés, ceux qui sont reçus, ont déjà entamé leur voyage. Ces mots authentiques qui relient les êtres de bonne volonté, de tous temps et de tous lieux, entre-eux. ~~~~~~
Sélection
Et même le vent n'en a soufflé mot, appréciations de lecteurs
"Sans prévenir ta douceur s'est posée
et même le vent n'en a soufflé mot"
et même le vent n'en a soufflé mot"
Sur les bords de l' Odet
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Ton sourire
J'aimais quand ton sourire
illuminait ma vie ,
entendre ton beau rire
courir à l'infini.
Les mots que tu disais
quand t'étais avec moi,
faisaient surgir l'été.
J'aimais que tu me dises
les mots doux amoureux,
que ton regard attise
le mien qui est tout bleu .
Tu étais mon poète,
le seul, le préféré ,
celui qui, dans ma quête ,
me faisait enterrer
les hommes dans la conquête,
leurs flèches empoisonnées.
Et toi, mon grand poète,
je ne t'oublierai jamais,
toi l'homme à la casquette
de Morgat en été.
Et le temps qui trépasse
fait naître quelques fois
les purs moments de grâce
de nos coeurs en émoi.
Les années qui révèlent
ce qui n'a pas été,
qui jettent à la poubelle
les roses rouges fanées.
Les années qui vous disent
qu'on ne peut faire semblant
de mettre à la remise
les êtres importants
qui ont compté pour nous
et qui comptent toujours.
C' est cela l' amour.
""""""""
illuminait ma vie ,
entendre ton beau rire
courir à l'infini.
Les mots que tu disais
quand t'étais avec moi,
faisaient surgir l'été.
J'aimais que tu me dises
les mots doux amoureux,
que ton regard attise
le mien qui est tout bleu .
Tu étais mon poète,
le seul, le préféré ,
celui qui, dans ma quête ,
me faisait enterrer
les hommes dans la conquête,
leurs flèches empoisonnées.
Et toi, mon grand poète,
je ne t'oublierai jamais,
toi l'homme à la casquette
de Morgat en été.
Et le temps qui trépasse
fait naître quelques fois
les purs moments de grâce
de nos coeurs en émoi.
Les années qui révèlent
ce qui n'a pas été,
qui jettent à la poubelle
les roses rouges fanées.
Les années qui vous disent
qu'on ne peut faire semblant
de mettre à la remise
les êtres importants
qui ont compté pour nous
et qui comptent toujours.
C' est cela l' amour.
""""""""
Mahmoud Chaid m'a fait l'honneur et l'amitié de mettre en musique et d'interpréter "Roses rouges pour toujours".
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