Je suis un cri à brut porté par la passion de l'écriture. Dans ce monde bouffé par le matérialisme, le rêve, l'imaginaire, permettent d'ouvrir un espace de liberté où la pensée, tel un goéland ivre, exulte. Certains traduisent leurs songes, expriment leur sensibilité via une peinture, une sculpture, une musique. Peu importe le support où se rive et se livre une âme. L 'essentiel est d'aller au bout de soi-même, de s'exprimer dans la sincérité et d'apporter, en toute humilité, sa propre respiration, à la respiration du monde. Les mots qui sont donnés, ceux qui sont reçus, ont déjà entamé leur voyage. Ces mots authentiques qui relient les êtres de bonne volonté, de tous temps et de tous lieux, entre-eux. ~~~~~~
Sélection
Et même le vent n'en a soufflé mot, appréciations de lecteurs
"Sans prévenir ta douceur s'est posée
et même le vent n'en a soufflé mot"
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Sur les bords de l' Odet
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Ce qui est mystérieux m' attire. Il n'est donc pas surprenant que mon livre de chevet actuel soit "Lorsque j' étais quelqu'un d'autre" de Stéphane Allix. J'y retrouve certains phénomènes que j'ai pu ressentir notamment au niveau énergétique. Cette traversée du corps à grande vitesse et l'information qui m' a été transmise.
Un passage de ce recueil retient toute mon attention.
J'ai envie de le partager avec les lecteurs de ce blog.
"La question de sa propre capacité à tuer, à laquelle il est si difficile de répondre tant que l'on n'y a pas été confronté, est au cœur même du livre de Jonathan Littell "Les bienveillantes". Rarement, voire jamais, un ouvrage n'a eu un tel effet sur moi. Peut-être parce-que dès les premières pages il
s' adresse au lecteur en le pressant de s' interroger sur ses propres limites… Et Littell a le talent de poser les questions crûment : "si vous êtes né dans un pays ou à une époque où non seulement personne ne vient tuer votre femme, vos enfants, mais où personne ne vient vous demander de tuer
les femmes et les enfants des autres, bénissez Dieu et allez en paix. Mais gardez toujours cette pensée à l' esprit : vous avez peut-être eu plus de chance que moi, mais vous n' êtes pas meilleur. Car si vous avez l'arrogance de penser l'être, là commence le danger ! En effet, que ferions-nous confrontés à un tel choix" ?
Source :
"Lorsque j'étais quelqu'un d'autre"
Stéphane Allix
(journaliste d' investigation)
Un passage de ce recueil retient toute mon attention.
J'ai envie de le partager avec les lecteurs de ce blog.
"La question de sa propre capacité à tuer, à laquelle il est si difficile de répondre tant que l'on n'y a pas été confronté, est au cœur même du livre de Jonathan Littell "Les bienveillantes". Rarement, voire jamais, un ouvrage n'a eu un tel effet sur moi. Peut-être parce-que dès les premières pages il
s' adresse au lecteur en le pressant de s' interroger sur ses propres limites… Et Littell a le talent de poser les questions crûment : "si vous êtes né dans un pays ou à une époque où non seulement personne ne vient tuer votre femme, vos enfants, mais où personne ne vient vous demander de tuer
les femmes et les enfants des autres, bénissez Dieu et allez en paix. Mais gardez toujours cette pensée à l' esprit : vous avez peut-être eu plus de chance que moi, mais vous n' êtes pas meilleur. Car si vous avez l'arrogance de penser l'être, là commence le danger ! En effet, que ferions-nous confrontés à un tel choix" ?
Source :
"Lorsque j'étais quelqu'un d'autre"
Stéphane Allix
(journaliste d' investigation)
Mahmoud Chaid m'a fait l'honneur et l'amitié de mettre en musique et d'interpréter "Roses rouges pour toujours".
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