Je suis un cri à brut porté par la passion de l'écriture. Dans ce monde bouffé par le matérialisme, le rêve, l'imaginaire, permettent d'ouvrir un espace de liberté où la pensée, tel un goéland ivre, exulte. Certains traduisent leurs songes, expriment leur sensibilité via une peinture, une sculpture, une musique. Peu importe le support où se rive et se livre une âme. L 'essentiel est d'aller au bout de soi-même, de s'exprimer dans la sincérité et d'apporter, en toute humilité, sa propre respiration, à la respiration du monde. Les mots qui sont donnés, ceux qui sont reçus, ont déjà entamé leur voyage. Ces mots authentiques qui relient les êtres de bonne volonté, de tous temps et de tous lieux, entre-eux. ~~~~~~
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Et même le vent n'en a soufflé mot, appréciations de lecteurs
"Sans prévenir ta douceur s'est posée
et même le vent n'en a soufflé mot"
et même le vent n'en a soufflé mot"
Sur les bords de l' Odet
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Aujourd'hui 8 mars, journée des droits des femmes.
Droit d' être ce que nous sommes en notre diversité.
Refus de nous entendre dire : que penser, comment s'habiller, de quelle manière jouir pour bien jouir, quel film aller voir, quel livre lire, quelle silhouette avoir pour séduire, comment conduire sa vie et bien choisir sa bagnole.
J'ai vu des femmes libérées qui avaient fait le choix de rester au foyer pour élever leurs enfants. J'ai vu, en milieu professionnel, des femmes soumises. De celles qui sourient béatement quand un supérieur hiérarchique leur passe la main aux fesses ou leur demande de nettoyer les wc. Plus soumises au petit chef qu'à leur époux ou compagnon. Derrière les caisses de supermarché, je vois des femmes soumises à un quota d'articles à passer à la minute. Cela ressemble à de l'esclavage, non ? Je vois des femmes aussi s'épanouir dans leur travail car aiment ce qu'elles font et s'accomplissent, heureusement !
Il n'y a pas de règles. Il n'y a que des femmes, toutes générations confondues, avec leur propre histoire et leurs terrains de liberté et de justice à conquérir.
Je rêve qu'il n'y ait plus de journée des droits des femmes, comme plus de restos du coeur etc. Ce, "il n'y ait plus", signifiant, plus besoin d'avoir. Etre, tout simplement, dans une société plus juste, sans les diktats de tous ordres, de toutes sociétés et pas forcément en opposition aux hommes.
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Mahmoud Chaid m'a fait l'honneur et l'amitié de mettre en musique et d'interpréter "Roses rouges pour toujours".
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